De retour à Lubumbashi, le Gouverneur Jacques Kyabula s’interdit toute polémique : « il faut se concentrer sur le travail et le développement »

De retour à Lubumbashi, le Gouverneur Jacques Kyabula s’interdit toute polémique : « il faut se concentrer sur le travail et le développement »

De retour à Lubumbashi ce lundi 24 juillet 2023 dans la soirée après un séjour à Kinshasa, le Gouverneur de Province, Jacques Kyabula Katwe a été honoré par une haie de la fanfare de la Police Nationale Congolaise mobilisée pour la circonstance à l’aéroport international de la Luano.

En effet, l’autorité provinciale a été accueillie à sa descente d’avion par le Vice-Gouverneur Jean-Claude Kamfwa Kimimba, les membres du Conseil Provincial de Sécurité et de son Gouvernement.

Se confiant à la presse, l’Exécutif provincial a révélé les vrais motifs de sa mission effectuée dans la capitale congolaise. Il s’agit d’un échange avec sa hiérarchie pour solliciter l’achat d’un deuxième atelier qui permettra la finition des travaux de réhabilitation de la Route Kasomeno-Pweto sur la RN 35.

En fait, à sa dernière itinérance dans le territoire de Kasenga profond, le Chef de l’Exécutif Provincial a constaté que les travaux dédit tronçon évoluent normalement. Mais il était important d’atteindre le plus rapidement possible Kilwa-Pweto avant la tombée de la pluie, a-t-il ajouté. Cela, pour rendre la route praticable et carrossable d’ici la fin de l’année.

A la question de savoir ce qu’il faut comprendre sur les folles rumeurs répandues comme une traînée de poudre sur son improbable retour en province, Jacques Kyabula Katwe a appelé les Haut-katangais à se concentrer sur le développement, la culture de la paix et le vivre-ensemble.

« Il faut tout simplement se dire que nous en tant que dirigeants politiques, nous sommes là pour rendre service à notre population. Et cela, par le travail et non par les réseaux sociaux, ni par des racontars, a-t-il souligné ».

En outre, le message que nous avons c’est un message de paix, message de tranquillité. Il faudrait que les gens travaillent en paix et que la sécurité soit garantie, que la population accompagne les institutions dans le travail qui est en train de se faire », a-t-il conclu.