Dynamique des Femmes Fonctionnaires de l’Administration Publique du Haut-Katanga à la Clôture du Mois de la Femme
Le samedi 1er Avril, la salle du Centre Interdiocésain de Lubumbashi a servi de cadre à la manifestation de clôture des activités du mois de la femme, édition 2023, de la Dynamique des Femmes Fonctionnaires de l’Administration Publique du Haut-Katanga, DYFFAP en sigle. Le rendez-vous d’inauguration des manifestations par rapport aux droits de la femme fut le 08 mars dernier. Les mamans travailleuses de DYFFAP avaient bénéficié d’une série de sensibilisation sous le thème de l’année qui est : ‘‘Education Numérique pour la paix et l’autonomisation des femmes en RDC’’. Tout comme à l’ouverture, le Gouverneur Jacques Kyabula Katwe a été représenté à cette rencontre par sa conseillère en communication, madame Consolate Kanja.
Le besoin des résultats attendus est le mot d’ordre sur lequel la coordonnatrice adjointe, docteur Thérèse Mowa, a insisté à l’occasion de la clôture du mois de mars. En effet, eu égard à la formation et aux informations reçues à l’ouverture des activités du mois de mars, chaque femme doit connaître des avancées quant à la manipulation d’un ordinateur, des téléphones, bref du numérique. En outre, elles doivent être capables de constituer une épargne parce que sans argent, on ne peut prétendre aspirer à devenir autonome.
Après cette brève introduction, pour cette journée, l’assistance a eu l’opportunité d’enrichir les connaissances sur le cancer des seins : les causes qui fragilisent les femmes pour attraper cette affection ainsi que les habitudes à éviter sont autant des points qui ont été élucidées afin de permettre à chacune de se préserver. Toutefois, comment reconnaitre quand l’on est atteint de cette affection, demeure pour plusieurs une découverte importante car c’est le diagnostic précoce qui garantit les chances de guérison.
L’oratrice du jour a clôturé son intervention en épinglant quelques points sur l’enseignement « femme au foyer », plus précisément comment une femme doit prendre son bain. Tout ceci prouve à suffisance qu’éduquer une femme c’est éduquer toute une nation.
Notons qu’auparavant, le mot de circonstance a été prononcé par madame Nelly Mpande en lieu et place de la Coordinatrice Fannie Kisha Fane, empêchée. Dans cette allocution, les femmes ont été exhortées à mettre en pratique les enseignements reçus. Il a été également recommandé aux membres à apporter régulièrement les cotisations mensuelles pour permettre à l’entité d’atteindre ses objectifs.